Je remercie vivement les internautes qui ont bien voulu répondre au petit sondage sur les billets en –o de l’année passée, à l’occasion de la mise en ligne du recueil Allegro ma non troppo.

Parmi les qualificatifs attribués aux différents billets, drôle arrive largement en tête avec 46% des opinions, devant pédagogique (18%) et ardu (17 %) ; suivent subversif (10%), innovant (7%) et tordu (2%).

Cinq billets recueillent une appréciation unanime :

Cocorico et Sado-maso sont subversifs,

Recto-verso est pédagogique,

Rigolo est drôle (logique…) de même que Scénario.

Ma propre appréciation de mon travail d’écriture se démarque légèrement de ces résultats, d’où leur intérêt pour l’auteur.

Il est vrai que cet exercice de style est drôle et je ris beaucoup à confectionner ces billets bien que – malheureusement pour vous 😉 – je ne publie pas tout ce à quoi je pense, sans me censurer pour autant.

La pédagogie, oui, indéniablement : je n’aurais jamais penser apprendre autant en tentant de mettre en forme mes idées sur l’information et l’archivage, au travers de ces désinences imposées dont la vertu oulipienne est manifeste.

Ardu… Le qualificatif a surtout été choisi par les étudiants dans le sondage. Je reconnais que ma réflexion est parfois condensée et que le raisonnement est rapide. De mon côté, j’avoue que la production des billets est parfois ardue, sur un autre plan, mais ardue tout de même.

Innovant : j’essaie mais ce n’est pas une fin en soi.

Tordu : là, mon vote perso avoisine les 15%…

Enfin, je suis flattée du 10% de subversif, mais je ne cache pas que je vise davantage, surtout depuis que j’ai entendu cette interview de Philippe Starck plaçant la subversion parmi les cinq valeurs du devoir de création, aux côtés de l’éthique, l’écologie, la poésie et l’humour.

Conclusion, amusons-nous en apprenant, avant que le ciel ne nous tombe sur la tête.

 

 

Je remercie vivement les internautes qui ont bien voulu répondre au petit sondage sur les billets en –o de l’année passée, à l’occasion de la mise en ligne du recueil. 
Parmi les qualificatifs attribués aux différents billets, drôle arrive largement en tête avec 46% des opinions, devant pédagogique (18%) et ardu (17 %) ; suivent subversif (10%), innovant (7%) et tordu (2%).
Cinq billets recueillent une appréciation unanime :
Cocorico et Sado-maso sont subversifs,
Recto-verso est pédagogique,
Rigolo est drôle (logique…) de même que scénario.
Ma propre appréciation de mon travail d’écriture se démarque légèrement de ces résultats, d’où leur intérêt pour l’auteur. 
Il est vrai que cet exercice de style est drôle et je ris beaucoup à confectionner ces billets bien que – malheureusement pour vous ;-) – je ne publie pas tout ce à quoi je pense, sans me censurer pour autant.
La pédagogie, oui, indéniablement : je n’aurais jamais penser apprendre autant en tentant de mettre en forme mes idées sur l’ information et l’ archivage, au travers de ces désinences imposées dont la vertu oulipienne est manifeste.
Ardu… Le qualificatif a surtout été choisi par les étudiants dans le sondage. Je reconnais que ma réflexion est parfois condensée et que le raisonnement est rapide. De mon côté, j’avoue que la production des billets est parfois ardue, sur un autre plan, mais ardue tout de même.
Tordu : là, mon vote perso avoisine les 15%...
Enfin, je suis flattée du 10% de subversif, mais je ne cache pas que je vise davantage, surtout depuis que j’ai entendu cette interview de Philippe Starck plaçant la subversion parmi les cinq valeurs du devoir de création, aux côtés de l’éthique, l’écologie, la poésie et l’humour.
Conclusion, amusons-nous en apprenant, avant que le ciel ne nous tombe sur la tête.