Merci aux dizaines de milliers d’internautes qui ont visité mon blog depuis sa création il y a un peu plus de trois ans. Merci encore plus à ceux qui sont revenus, à ceux qui se sont montrés fidèles voire accros.
Pourquoi ces propos ? Parce que ce billet est un des derniers billets, voire le dernier. Le dernier en –oire, je veux dire, car il est probable que, en fonction de la mode (très peu mais quand même) et de l’inspiration, il dure encore quelques années, voire une décennie. Il est vrai que j’aime bien la nouveauté, voire l’innovation, mais j’avoue que j’aime encore plus la continuité, voire la persévérance.
Outre les pages complémentaires (Diplomatique et Archiver sont très prisées et je m’en réjouis), la page d’accueil de ce blog, successivement nommée Ité-ration, O-raison et Écrit-oire) totalise quelque cent-soixante billets qui, sous des allures de jeux de mots, d’anecdotes réelles ou fictives, voire de recettes de cuisine, tente de brosser un tableau des avantages et des inconvénients de la société numérique pour l’équilibre des dimensions spatiale et temporelle de l’activité humaine.
Ce blog entend stigmatiser des pratiques idiotes que nous pouvons tous constater dans cette société sans dessus-dessous, de montrer les dessus chics et les dessous moins chics du monde numérique. Il veut être une alerte souriante sur des gestes ineptes que nous faisons tous et un plaidoyer pour les gestes censés que malheureusement nous ne faisons pas. Il ambitionne de ridiculiser le jargon excessif de certains pour parler de la société de l’information et de décomplexer, le cas échéant, ceux et celles qui s’en trouveraient indûment impressionnés.
Le ton du blog est donc volontiers malicieux voire perfide, critique voire provocateur. Je parle forcément de nu, de sexe, voire de sadomasochisme, parce que de nos jours (plus encore que par le passé), si on n’en parle pas, on n’intéresse pas grand monde, voire personne…
L’internaute que vous êtes est invité(é) :
à s’y promener, voire à s’y arrêter ;
à lire les billets hebdomadairement, voire à s’abonner ;
à lire et relire en ligne les billets, voire à les faire lire en faisant suivre ou en twittant ;
à relire, voire à télécharger les recueils annuels (Sérendipité et autres curiosités, Allegro ma non troppo et Divertissoire qui sera très prochainement accessible) ;
à les lire, voire à laisser un commentaire, auquel je me ferai un devoir, voire un plaisir, de répondre ;
à souscrire à mes recommandations voire à les appliquer.
Allez-y. Ce blog est tout à fait inoffensif. Voire !