Le président Auriol, la protection des données et les archives publiques
Le journal Le Monde est dernièrement revenu sur cette curieuse pratique du président Vincent Auriol au début des années 1950 consistant à enregistrer les conversations qu’il tenait avec ses visiteurs, à »l’insu du plein gré » des intéressés, grâce à un petit magnétophone placé dans le tiroir de son bureau élyséen. Ce récit me suggère deux questions.…